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De Philippe Geluck

Mise en scène de Gérard David

Avec Clément Pawliczek

Le Docteur G anime chaque samedi matin son émission de radio « Le Docteur G répond à vos questions », où il répond au courrier de ses auditeurs. 

Dans l’intimité du studio radiophonique, le spectateur se retrouve dans un univers surréaliste, mêlant différentes tranches de vies : une dyslexique qui a des difficultés à exprimer son mal, un homme qui ne se souvient plus pourquoi il fait une grève de la faim, ou encore un raciste daltonien qui ne sait pas s'il doit aimer ou détester les personnes en face de lui. 

Au fil des lettres et des conseils hasardeux du médecin, les auditeurs les plus avertis se demanderont si le Docteur G n'aurait pas lui-même besoin d'une consultation.

Tout comme Le Chat, le Docteur G est une invention de Philippe Geluck. 

Les textes sont issus d’une rubrique humoristique que tenait Philippe Geluck au sein de l’émission La Semaine Infernale diffusée dans les années 1980-1990 sur la RTBF.

 

Philippe Geluck a également reprit le personnage du Docteur G dans l’émission Audimatraquage sur France Inter ou à la télévision dans Vivement dimanche prochain.

Un mot du metteur en scène

C’est Clément Pawliczek qui m’a fait découvrir le texte, tout de suite conquis par la forme, l’émission radiophonique, la richesse de celui-ci, son univers si varié et son humour décapant, je n’hésitai pas, il fallait en effet le faire entendre ce texte.

 

L’auteur Philippe Geluck, également comédien, nous fournit ici un texte précis où tout est possible : c’est une ode à la liberté, la liberté de dire et faire entendre. Cet humour m’évoque les Monty Python, Ionesco ou encore Henri Michaux que Philippe Geluck avait lui-même interprété dans Un certain Plume.

 

Mais c’est avant tout du Philippe Geluck, et son humour, il nous le fait partager : le texte est écrit avec générosité, finesse, précision et liberté !

 

Les qualités du comédien, Clément Pawliczek, ses qualités de diseur, de chanteur, musicien, son goût pour la dérision, ne pouvaient trouver ici qu’un champ de jeux à sa convenance.

Gérard David

La presse en parle...

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